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ARTICLES D'ERIC JL BRETON
7 juillet 2004

VEHICULEMENT DES VOIX

L'affaire de l'enfant qui tue ses parents, parceque des voix lui ont dit de le faire, m'a une nouvelle fois révolté .Voilà, maintenant 7 ans que je répète, que des petits malins, qui ont une certaine technologie, peuvent se faire passer pour DIEU, ou n'importe qui(en imitant une voix connue).La déstabilisation peut toucher n'importe qui, principalement les gens désinformés, mal informés ou ignorants .Aujourd'hui, encore ce sont ces gens là et les autres que j'informe.Aujourd'hui encore, il est indispensable et vitale de diffuser mon témoignage .

AUJOURD'HUI, COMMENT EN FRANCE ET AILLEURS, ON TROMPE LE MONDE...?

CERTAINS PETITS MALINS ONT REUSSI A TROMPER LE MONDE, en faisant croire n'importe quoi aux gens. Il y a bien entendu plusieurs manières de dûper les gens, certains pensent même qu'il y a des écoles, et c'est surement vrai ...Lorsque ces écoles rencontrent la technologie en plus de l'illusion, celà devient dangereux pour les citoyens vulnérables et mal-informés, il devient donc facile pour eux de leurres faire croire n'importe quoi, c'est donc ce n'importe quoi, que j'expliquerai tout au long de ces rubriques . Aujourd'hui, je vais parler du véhiculement des voix par réseaux électriques, radiophoniques, ou électroniques .Je vais donc tout d'abord faire le point sur les toutes dernières révolutions technologiques en la matière, avant de faire une critique féroce, mais juste, sur l'utilisation malsaine de cette technologie, lorsqu'elle tombe entre les mains de gens malsains, qui n'ont en fait qu'un but tromper leurs mondes et avoir des pouvoirs . Si les gens ne sont pas informés, ils peuvent facilement prendre ces véhiculements de voix, pour des voix divines, voire carément DIEU dans une grotte, un DIEU qui pourrait persuader certains de mettre des bombes, un peu partout ou de contaminer les eaux et les aliments . En chuchotant dans un lieu précis, les sons peuvent être perçus à l'opposé de la salle ou d'une pièce, mais restés inaudibles ailleurs. Selon les chercheurs d'IBM, la technique des mirages quantiques ouvre une nouvelle voie pour transmettre des informations sans fil en nano-électronique(extrait d'eureka d'avril 2000) La firme ATC(american technology) travaille également sur un système de génération de sons à distance sans fil, avec cette technologie n'importe quel objet devient un haut-parleur potentiel . Elle produit un faisceau d'ondes(comme un rayon laser), que l'on peut entendre qu'à condition d'avoir l'oreille dedans . En arrosant n'importe quel objet de ce faisceau, les ondes se réfléchissent dessus, dans toutes les directions et parviennent aux auditeurs, comme si elles étaient produites pat l'objet lui-même(sciences actualités-la vilette) Un étudiant du MIT A MIS AU POINT, une sorte de laser sonore(imaginez un jour parler à une personne noyée au milieu d'une foule située à plus d'une centaine de mètres de vous, sans que les autres autour d'elle, entendent quoi que se soit), c'est ce qu'il prétend avoir mis au point, et c'est ce que font certaines personnes depuis dèjà pas mal de temps . 3 industriels d'outre rhin ont déclaré avoir développé la technologie nécessaire pour transporter en parallèle avec le courant électrique, des données électroniques à la vitesse de 2 mégabits par seconde, soit l'équivalent d'une connexion par câble ou 35 fois la vitesse du meilleur modem . L'un deux veba télékom et sa filiale énergie PRENSEN-ELEKTRA, a même annoncé pouvoir simultanément véhiculer des voix.(sciences actualités mai 2000) Bien entendu, comme je vous le disais dans l'article concernant le sommeil, l'hypnotisme est constitué de chuchotements qui endorment le sujet, avant d'influencer sa conscience, qu'il soit sur le lit ou dans un fauteuil, le résultat est le même, c'est de toute façon possible, et ça se fait . Les liens entre ces technologies, les rêves et les cauchemars sont donc évidents, les liens entre l'hypnotisme et cette technoilogie sont certains. Et comme je vous l'ai déjà dis celà fait maintenant des années que j'essaye de faire comprendre ça aux gens, pour l'instant ces découvertes scientifiques officialisées sont mes seules appuis, à mes certitudes, mais les critiques et les liens n'ont pas été faits correctement, ce qui génèrent un malaise, un malaise qui prouve bien qu'on veut continuer à tromper le monde et surtout à faire croire n'importe quoi . Bien entendu cette technologie est utile pour le progrès, mais lorsqu'elle tombe entre les mains de gens malsains, celà devient" nuit cible ".D'autre part on peut toucher à distance de chez soi un objet ou une personne extérieur ou éloigné, grâce à ce qui est appelé la reconnaissance tactile, ce procédé est déjà développé en caroline du nord, depuis bientôt maintenant 5 ans, voire plus...Il est donc grand temps de réagir et de dire ce qu'il en est, afin de ne plus tromper son monde, afin de mieux comprendre ce qui nous entoure ou ce qui nous arrive .Il faut savoir qu'avec ces procédés, n'importe qui peut arriver à faire croire n'importe quoi, à une personne désinformée ou encore qui ne réfléchit pas assez, et pour résoudre ces problèmes, il faut beaucoup réfléchir, autant donc vous dire qu'il faut être préparé ... Eric Jean-Loic BRETON (04 avril 2002)



DU NOUVEAU Nouveau gadget pour James Bond Gaëlle Lussiaà-Berdou, Cybersciences.com 21/06/2002 - La réalité se rapproche de la science fiction : deux scientifiques britanniques ont inventé un implant dentaire qui contient une radio miniature. (Photo : NESTA) James Auger et Jimmy Loizeau, du Royal College of Arts, à Londres, ont introduit un récepteur radio dans une molaire. Les signaux reçus d'une radio ou d'un téléphone cellulaire sont ensuite convertis en son et retransmis jusqu'à l'oreille interne par les vibrations de l'ossature. Les sons ne peuvent ainsi être entendus que par le porteur de la « techno-dent ». Les utilités d'une telle invention sont nombreuses. Elles vont de la réception d'information routière aux conseils prodigués par un responsable des communications à un politicien pendant une entrevue télévisée embêtante… Selon les concepteurs de l'objet, il serait même assez simple d'y ajouter un microphone et ainsi permettre au possesseur de l'engin de renvoyer des signaux à un autre appareil radio, qu'il soit dans une dent ou non. Pour l'instant, l'outil miniature fonctionne grâce à une batterie, miniature elle aussi. Éventuellement, son énergie pourra aussi lui être fournie par une micro-génératrice électro-magnétique qui se chargerait quand le porteur de la dent mange, parle ou secoue la tête!


ericjeanloicbreton, 2003-01-24 12:41:22

l'article:


Ils ne sont pas tous fous

Les entendeurs de voix sont parmi nous

10 à 39 % des gens ont déjà entendu des voix. La signature d’une schizophrénie ? Parfois, mais pas toujours. Explications.

« Vous entendez des voix ? » A cette question, madame Mayor, citoyenne suisse, répond : « J’ai régulièrement entendu une voix au cours de ma vie. Par exemple, récemment, la voix m’a répété plusieurs fois : “Va chez l’ophtalmo.” J’y suis allée. Le lendemain, j’ai subi une intervention au laser qui m’a évité un décollement de la rétine. » Si, en France, ce genre de déclaration risque de passer pour un symptôme de la schizophrénie, différentes études (1) montrent que les entendeurs de voix sont beaucoup trop nombreux pour que cette pathologie puisse être seule incriminée. L’hallucination auditive est un phénomène par ailleurs extrêmement variable, comme le précise le Dr Paul Baker, dans un ouvrage consacré à la question (2) : « Il y a de nombreuses façons d’entendre des voix. On les entend dans la tête ou en dehors, ou même à l’intérieur de son corps. Il peut s’agir d’une seule voix ou de plusieurs. La voix peut vous parler en s’adressant à vous ou parler de vous. »
Hérétique ou pas, la démarche du professeur Romme a permis de déculpabiliser de nombreux entendeurs anonymes, provoquant même d’inattendus « coming out ». En Allemagne, un très sérieux universitaire, le professeur Hemrisch, a ainsi avoué à ses étudiants ébahis qu’il entendait des voix. En Europe du Nord, des associations ont vu le jour (le Royaume-Uni en compte plus d’une centaine), apportant conseils et assistance. En France, rien de tel ! On fait toujours la sourde oreille.
Une expérience d’autant plus angoissante que les voix sont rarement aussi bienveillantes que dans le cas de madame Mayor. Pierre Bitton, 49 ans, en a fait l’amère expérience. Victime de ce phénomène entre 1977 et 1995, il est l’un des rares à témoigner aujourd’hui en France. Pour lui, ses voix s’expliquent par le traumatisme résultant de trois mois d’incarcération dans les geôles d’Hassan II, au Maroc, suivis de la prise de drogues hallucinogènes comme le LSD. Il entendait sans cesse : « Ici, police, vous passez sous contrôle. » Les psychiatres lui demandaient alors qui parlait. « Des personnes des services de renseignement », répondait-il. Ce qui lui a valu d’être catalogué « schizophrène paranoïde » et de subir plusieurs internements.
Les mesures psychiatriques sont parfois légitimes, car il arrive que les voix poussent au crime. En septembre 2000, près de Belfort, Vincent, un adolescent de 15 ans, a ainsi poignardé ses parents, un couple de bouchers, d’au moins 30 coups de couteau. Il a expliqué aux gendarmes qu’il avait obéi à une voix.
Le terme médical d’hallucination auditive recouvre en réalité une grande disparité de situations. Chez certains, le phénomène apparaît transitoirement à l’endormissement (hypnagogie) ou avant le réveil (hypnopompie), alors que chez d’autres, il résulte d’un choc émotionnel intense : deuil, divorce, expérience limite (navigation en solitaire, torture). Rien de vraiment pathologique. En général, les personnes savent que les voix ne sont pas réelles. Les malades atteints d’épilepsie, d’une tumeur cérébrale, de dépression sévère ou de troubles bipolaires maniaco-dépressifs sont également sujets aux hallucinations.
Toutefois, les voix sont considérées comme l’un des symptômes cardinaux de la schizophrénie. Cliniciens et chercheurs s’accordent généralement sur la description de ces symptômes, mais en ignorent les véritables raisons biologiques. Plus de la moitié des schizophrènes présentent des hallucinations auditives. Un quart d’entre eux commettent une tentative de suicide en réponse à leurs voix. Les traitements antihallucinatoires, généralement des neuroleptiques, améliorent 60 à 70 % des symptômes des patients, qui s’atténuent, parfois même disparaissent en totalité. Mais ces molécules restent inefficaces chez 20 à 30 % des malades et entraînent fréquemment des effets secondaires redoutables.
Remise en question de l’approche traditionnelle
Pathologiques ou normales, les hallucinations auditives font l’objet de nombreuses et vives controverses depuis 1988. A cette époque, un psychiatre néerlandais, le professeur Marius Romme, participe à une émission de télévision sur le thème des voix. Quatre cent cinquante entendeurs le contactent. Trois cents affirment que le phénomène perturbe, parfois gravement, leur vie quotidienne ; mais cent cinquante autres assurent qu’ils se débrouillent fort bien sans l’assistance d’un psychiatre.
Ebranlé dans ses certitudes, Marius Romme décide alors de se démarquer de l’approche psychiatrique traditionnelle, qui ignore ce que disent les voix pour ne pas suivre le patient sur le terrain de ses divagations. « Il est non seulement inutile, mais au contraire préjudiciable au patient de considérer la perception des voix comme un symptôme de maladie et de faire peu de cas du contenu des messages. Le problème ne réside pas dans le fait d’entendre des voix. Ce qui compte, c’est la façon dont la personne y fait face », explique Paul Baker à propos des travaux du professeur néerlandais. Ce dernier en tire des conclusions diamétralement opposées à celles de ses confrères psychiatres et provoque presque un tollé lorsqu’il les annonce lors d’une conférence en 2000. Pour lui, seul un tiers des entendeurs de voix relève de la psychiatrie pure et dure. Pour les autres, à supposer qu’ils en fassent la demande, la psychothérapie ou les thérapies comportementales et cognitives suffisent.
En France, cependant, l’opinion de Marius Romme laisse quelque peu sceptique. Pour Jean-Yves Loze, psychiatre, chef de clinique à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil, il va de soi que tout entendeur n’est pas schizophrène. « Ceux qui parlent à leur plante ou à leur chat, par exemple, n’ont pas besoin de traitement, admet-il. Je pense malheureusement que les conclusions de monsieur Romme ont englobé ce type de sujets. » Guy Hugnet

(1) Auditory Hallucinations : a Review of Psychological Treatments, S. Shergill, Londres, Institut de psychiatrie Denmark Hill, 1998.
(2) Entendre des voix. Guide pratique, Paul Baker. Disponible auprès du mouvement REEV, CP 235, CH - 1211, Genève 17, Suisse.
(3) GIA, 14, rue des Tapisseries, 75017 Paris.


Contre l’asile

Au prix de 4 heures quotidiennes de sport et d’une psychothérapie, Pierre Bitton est guéri. Il préside aujourd’hui le « Groupement information asile » (3) qui lutte contre les internements abusifs.

Comment le cerveau entend

Définir la frontière entre perception et hallucination est un véritable défi des neurosciences. En effet, le cerveau n’est pas une tablette de cire vierge sur laquelle s’impriment les images ou les sons, mais plutôt un générateur de représentations mentales, de formes mémorisées, de mots et de phrases, d’idées. Percevoir revient, pour le cerveau, à comparer ces représentations avec le peu d’informations qu’il reçoit du dehors de manière à n’en garder que la ressemblance la plus fidèle possible. Le cerveau « hallucine » le monde plus qu’il ne le voit.
Pour le son, c’est à l’intérieur des lobes temporaux que s’opère cette intégration. Dans le cortex auditif primaire d’abord (dans les lobes temporaux), puis, de proche en proche, vers les zones dites associatives. Les sons y deviennent des mots, puis des phrases, une parole enfin. Cette dernière est, en fait, potentiellement présente au sein des connexions et des formes d’activité neuronales du cortex temporal avant d’être entendue, condition sine qua non de la compréhension. Lorsque l’oreille est sollicitée, l’information sonore est intégrée dans le cortex auditif et révèle, en quelque sorte, la parole potentielle qu’il contenait. Le lobe préfrontal exerce alors une inhibition, une sorte de filtrage qui permet à la parole d’être entendue, c’est-à-dire considérée comme « vraie » par le cerveau.
Toutefois, il arrive que le filtre ne fonctionne pas normalement. C’est le cas chez les schizophrènes, par exemple, ou certains épileptiques. Les paroles potentielles risquent alors d’être entendues, et prises pour vraies. Les paroles parasites produites par le générateur auditif n’étant plus éliminées par le lobe préfrontal, l’entendeur de voix a l’impression d’entendre quelqu’un s’adresser à lui. Alors qu’il n’y a personne. Patrick Jean -Baptiste
Chez les « entendeurs de voix », soit le filtre préfrontal est partiellement ou totalement inopérant, soit l’activité du lobe temporal est trop importante. Résultat, même si le cortex auditif ne perçoit aucun son, l’aire de Wernicke engendre ses propres « paroles » que l’entendeur tiendra pour vraies, ou en tout cas, « audibles ».En temps normal, le filtre « inhibiteur » exercé par les lobes préfrontaux ne laisse passer que les sons réellement perçus, c’est-à-dire traités par le cortex auditif.

 

 

A mes yeux, cet homme n'a jamais été malade . Il est donc évident que s'il croit qu'il est guéri.C'est parcequ'on lui a soit menti, ou soit il se ment à soi-même en n'expliquant pas ce qu'il a entendu .

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