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ARTICLES D'ERIC JL BRETON
9 mai 2004

RAPPEL SUR L'EUTHANASIE

Je n'ai pas réussi à retrouver la trace de ce fait divers, qui nous disait que deux jeunes d'une trentaine d'années avaient décidé de faire appel à probablement DIGNITAS, parcequ'ils ne supportaient plus leurs schizophrénies .
Mais je sais que cette information a été diffusée très largement, elle m'a scandalisé, d'ailleurs j'ai immédiatement réagit en faisant une critique qui se trouve sur mon site .J'espère sincérement que l'information a disparu, parcequ'on a persuadé ces deux jeunes de ne pas se suicider.Je pense aussi, qu'il soit possible d'avoir fait disparaître cette information, pour la cacher .Un suicide à 30 ans pour schizophrénie ? Qu'est-ce que celà veut dire ?

Par contre voilà ce que je dis et ce que j'ai retrouvé comme informations .

L'EUTHANASIE n'est pas un jeu, et je n'aime pas du tout, ceux qui veulent la légaliser .

Des schizophrènes d'une trentaine d'années auraient demandé à mourir, parcequ'ils étaient soi-disant malades, une entreprise suisse et des médecins se sont proposés pour accomplir leurs rêves, ils les ont aidé à se suicider .
Le problème c'est que non seulement, la schizophrénie se soigne et est surtout mal interprétée, mais pire, beaucoup de médecins et de personnes influentes se permettent de cataloguer de schizophrenes, toutes personnes qui pourraient les gêner ou éventuellement, qu'ils ne comprennent pas...
C'est bien ce que je craignais, en légalisant l'euthanasie et la mort assistée, tous les abus sont possibles .Nombreuses personnes peuvent dire n'importe quoi ou faire des faux, et assasiner une personne gênante...Une véritable honte et un scandale .Je le répète il existe des tas de gens qui sont incarcérés par la force et drogués .Ces médicaments les poussent au suicide et les rendent malades, pour qu'ils deviennent dépendants des maladies et les esclaves d'une économie malsaine et criminelle...


Un double suicide choque l'Angleterre
Londres (Grande-Bretagne) DE NOTRE CORRESPONDANT



ALORS QUE l'euthanasie est interdite en Angleterre, le double suicide assisté pratiqué en Suisse par un couple pourtant non condamné médicalement choque l'Angleterre. Robert Stokes et son épouse, Jennifer, âgés de 59 et 53 ans, n'étaient pas les plus mal en point de la maison de retraite où ils étaient venus s'installer il y a quatre ans, à Leighton Buzzards, dans la campagne anglaise. Lui souffrait d'épilepsie et avait dû abandonner son métier de menuisier après une opération au cerveau qui avait mal tourné. Elle avait du diabète et éprouvait des difficultés à marcher après une mauvaise chute. Les médecins lui avaient dit récemment qu'elle finirait en fauteuil roulant, mais elle pouvait pourtant encore conduire sa voiture. A la fin du mois de mars, après une dernière visite à leur maison, qu'ils avaient vendue, ils sont partis en train pour Zurich, en Suisse, et ne sont jamais revenus. A l'insu de tous, de leurs proches et de la direction de la maison de retraite où ils vivaient, le couple s'était inscrit auprès de Dignitas, une organisation basée en Suisse, qui a déjà aidé plus de 100 personnes venues du monde entier à abréger leur souffrance en buvant du poison.

Jean Robin
Le Parisien , mercredi 16 avril 2003




Reportage

Polémique en Suisse autour d'une association qui offre la mort aux candidats au suicide
Selon la loi helvétique, l'assistance au suicide "sans motif égoïste" n'est pas condamnable Atteinte de sclérose en plaques, Marlene a décidé de choisir l'heure de sa mort. L'article 115 du code pénal suisse stipule que l'aide au suicide "sans motifs égoïstes" n'est pas condamnable.
Genève, zurich de notre envoyée spéciale
Marlene L. veut mourir. Si elle vit encore, c'est parce qu'elle sait qu'elle peut mourir. Elle peut choisir le moment, demain... ou dans quelques mois, quand elle ne pourra plus marcher jusqu'à la porte pour l'ouvrir.
On sonne. Marlene met un peu de temps à nous ouvrir la porte de son appartement à Plan-les-Ouates, dans la banlieue de Genève. Mais elle tient à nous recevoir pour défendre son droit de mourir "dignement". Grande et élégante, elle ne fait pas ses 65 ans. Elle en avait 57 lorsqu'elle a pris sa décision. Le jour où on lui a annoncé le diagnostic de sclérose en plaques. Elle a passé beaucoup de temps à chercher un pont pour se jeter, un arbre pour y fracasser sa voiture. Pas évident.
Grande lectrice, Marlene a de plus en plus de mal à lire, alors elle regarde parfois, distraitement, la télévision. C'est à la télévision qu'elle voit, il y a un peu plus de deux ans, une émission sur Dignitas, une association pour le suicide assisté. Elle prend tout de suite son téléphone et devient membre : "Si je suis toujours vivante, dit-elle, c'est à cause de Dignitas. Je sais qu'à n'importe quel moment je peux appeler mon amie, mon ange, Erika et qu'elle sera là dans les heures qui suivent..."
Depuis deux ans, Erika, une "accompagnatrice" de Dignitas, aide Marlene à vivre, et elle l'aidera à mourir. Le problème, dit-elle, les yeux pleins de larmes, "c'est mon fils, Michel, il ne veut pas entendre parler de ma décision. C'est dur, vous savez, de laisser ceux que l'on aime".
Lui arrive-t-il parfois d'hésiter ? Son regard bleu se durcit : "Ma décision est prise, ce n'est pas un caprice." Elle se calme, et jette un très beau sourire : "Si je vous reçois aujourd'hui, c'est parce que je veux que tout le monde sache que Dignitas existe, je veux qu'ils sachent qu'ils ont le choix de partir s'ils le souhaitent et de le faire dignement."
Ludwig Minelli en a fait sa mission. Il a créé, le 17 mai 1998 à Zurich, une association dont la devise est : "Vivre dignement, mourir dignement". Dignitas a désormais plus de 2 200 adhérents, soit 150 % de plus qu'en 2002. Pour une cotisation de 25 francs suisses, ils peuvent demander son aide pour mettre fin à leurs souffrances avec 15 grammes de penthiobarbital de sodium, qu'ils doivent boire eux-mêmes.
En matière de suicide assisté, la Suisse est un îlot juridique. L'article 115 du code pénal suisse stipule que l'aide au suicide "sans motifs égoïstes" n'est pas condamnable. Dignitas agit donc, "presque", dans la légalité. Presque, car elle a poussé la pratique un pas de plus en acceptant d'aider aussi des étrangers à mettre fin à leurs jours. Plus de 80 % des adhérents de Dignitas sont d'ailleurs originaires d'un autre pays que la Suisse.
Un procureur zurichois redoute que les pratiques de Dignitas n'amènent à Zurich un "tourisme de la mort". Dignitas profite, dit Andréas Brunner, "des zones grises de la loi suisse", mais il n'a pas engagé de procédure juridique contre l'association.
Il n'y a pas de plaque indiquant le siège de Dignitas à Scheuren, dans la campagne zurichoise. "Je ne veux surtout pas que les gens arrivent chez moi sans rendez-vous", explique le maître des lieux, Ludwig Minelli. Il conteste les arguments du procureur. "Quand je vois quelqu'un en train de se noyer, je l'aide, je ne regarde pas son passeport." Ce qu'il regrette est que les gens "ne puissent pas finir leurs jours – s'ils en ont envie – chez eux, dans leur maison et qu'ils doivent se déplacer à Zurich".
PROBLÈMES JURIDIQUES
L'"appartement" au 84 Gertrudstrasse n'est pas loin de la gare. Il est petit et un peu triste, mais pas trop. Il y a une pièce et une cuisine. L'ambiance y est assez intime, mais pas somptueuse. Il est meublé avec deux lits, une table ronde et quatre chaises. Trois toiles ornent les murs. M. Minelli vient d'y ajouter une machine à café, et le frigo est toujours plein de champagne. "La présence des proches est très importante pour aider les gens à accepter le décès, quand le client peut prendre congé de ses proches, la mort est plus paisible, plus digne", dit M. Minelli. Et qui sont ces "clients"? "Ce sont des gens dans la même situation que ceux qui se sont jetés des Twin Towers le 11 septembre 2001, ceux qui n'ont pas d'autre choix..."
Pas seulement. Ludwig Minelli est prêt à aider quiconque souhaite mourir "s'il est sérieux, et s'il peut trouver un médecin qui lui écrit l'ordonnance". Cela pose parfois des problèmes juridiques. C'est le cas d'un médecin qui a accepté de donner une ordonnance à un frère et une sœur de 29 et 32 ans, tous les deux schizophrènes depuis l'âge de 15 ans, qui sont morts, côte à côte, dans l'appartement de Gertrudstrasse. "Oui, le médecin a des problèmes ; c'est un défi d'accepter d'aider des gens qui ne veulent vraiment plus vivre." Ludwig Minelli est déterminé : "Je prends des risques car je crois fermement que chaque individu a le droit de mettre fin à ses jours et l'Etat doit accepter cette décision. Les gens l'ont compris, l'Etat pas." En France, plus de 88 % des personnes sont pour le suicide assisté, 9 % sont contre.
"Les gens qui nous critiquent, dit-il, ne savent pas de quoi ils parlent. Ce frère et sa sœur étaient vraiment décidés à mettre fin à leurs jours ; alors, si on ne les avait pas aidés, ils auraient tenté encore et encore de se débrouiller tout seuls." Il cite des statistiques : sur 50 tentatives de suicide, il n'y a qu'un seul succès "et donc 49 échecs, et quand on sait qu'il y a, par année, 67 000 tentatives de suicide rien qu'en Suisse, cela veut dire que plus de 60 000 ont échoué, ce qui coûte plus de 3,3 milliards de francs en frais de guérison à l'Etat".
Marlene a de la chance, elle est suisse. Nul besoin de se déplacer à Gertrudstrasse. Quand elle ne pourra plus ouvrir sa porte, elle appellera Erika, qui viendra chez elle. Elles passeront un moment ensemble, le temps qu'il faudra. "Elle est devenue une vraie amie pour moi", dit Marlene. Erika lui donnera un médicament contre le vomissement – le barbiturique dilué dans l'eau est très amer. Elles attendront une demi-heure, puis Marlene avalera le poison.
Afsané Bassir Pour

"Avec le feu vert d'un médecin"
Que doit faire le candidat au suicide assisté ? Comme l'explique le créateur de l'association Dignitas, Ludwig Minelli, "il doit nous envoyer une lettre décrivant ses souffrances, fournir des documents médicaux avec le diagnostic établi et les thérapies envisageables, puis voir si un de nos médecins accepte de lui écrire une ordonnance. Avec le feu vert du médecin, c'est lui qui choisit le moment de se rendre à l'appartement et... de passer à l'acte".
Le dernier acte, c'est l'adhérent qui doit "impérativement" le faire lui-même. Il doit pouvoir tenir le verre, avaler le poison ou "au moins" tourner le robinet d'une perfusion, sinon Dignitas ne peut pas l'aider – "cela serait illégal". Le candidat doit aussi signer une "déclaration de suicide".
• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 08.02.03







Législations et pratiques de l'euthanasie en Europe
PARIS, 17 déc (AFP) - A ce jour, les législations européennes sur l'euthanasie restent très disparates. Cette pratique reste souvent taboue, certains pays admettant implicitement le "suicide assisté", et de nombreux autres se refusant à réglementer l'"euthanasie active". Les Pays-Bas et la Belgique sont les seuls pays au monde à l'avoir légalisée.

En FRANCE: L'euthanasie est illégale, mais le code pénal distingue l'euthanasie active - le fait de provoquer directement la mort (assimilé à un homicide) - et l'euthanasie passive - "l'abstention thérapeutique" (considérée comme non-assistance à personne en danger).
Vincent Humbert, un tétraplégique, a écrit au président Chirac pour lui faire part de son calvaire et lui dire qu'il souhaite mourir. En mai 2002, Dominique Knockaert, une Française paralysée de 44 ans, atteinte d'une infirmité motrice cérébrale de naissance, a demandé un débat parlementaire sur l'euthanasie, afin de peut-être mettre fin à ses jours.

En GRANDE-BRETAGNE: l'aide au suicide est considérée comme un crime, mais le débat sur l'euthanasie a été relancé par deux décisions de justice controversées. Diane Pretty, 43 ans, paralysée et incurable, à qui les tribunaux du Royaume-Uni et la Cour européenne des droits de l'Homme avaient refusé le droit de se faire aider par son mari pour mettre fin à ses jours, est décédée dans la souffrance en mai 2002.
Une autre Britannique, Mlle B., avait obtenu le droit de mourir en mars 2002, par débranchement des appareils qui la maintenaient en vie. Mais au regard de la loi, le cas était différent: elle était paralysée depuis un an et ne vivait que sous assistance respiratoire.

Les PAYS-BAS ont été, le 1er avril 2002, le premier pays au monde à légaliser l'euthanasie sous certaines conditions. La loi assure une plus grande sécurité légale au médecin, mais sans modifier fondamentalement le régime de tolérance qui l'entourait depuis 1997 : les médecins pourront pratiquer l'euthanasie sans risque de poursuites judiciaires s'ils respectent certains "critères de minutie".

En BELGIQUE: depuis le 16 mai 2002, une loi légalise partiellement l'euthanasie en l'encadrant strictement : le médecin "ne commettra pas d'infraction" dès lors que le patient, affligé d'une "souffrance physique ou psychique constante et insupportable" des suites d'une "affection accidentelle ou pathologique incurable", "se trouve dans une situation médicale sans issue".

En SUISSE : l'euthanasie active directe est interdite, l'euthanasie passive est tolérée. L'aide au suicide est légale si elle est accompagnée du feu vert d'un seul médecin. On peut adhérer à une association qui organise l'opération.

En ESPAGNE: le Code pénal de 1995 ne considère plus l'euthanasie et le suicide assisté comme un homicide. Les peines d'emprisonnement prévues ne s'appliquent pas lorsque le malade a fait une demande instante et réitérée, qu'il souffre d'une maladie incurable ou d'une affection entraînant des douleurs permanentes et difficiles à supporter.

Le DANEMARK interdit l'"euthanasie active", mais autorise un patient incurable à décider l'arrêt des traitements. Depuis le 1er octobre 1992, en cas de maladie incurable ou d'accident grave, les Danois peuvent faire un "testament médical" que les médecins doivent respecter.

En ALLEMAGNE: l'administration d'un médicament mortel est assimilée à un homicide. Selon la Cour d'appel de Francfort, l'euthanasie ne peut être décidée --par un tribunal des tutelles-- que si elle correspond sans ambiguïté à la volonté des patients.

L'euthanasie est enfin interdite par la loi en Italie, en Norvège, en Suède en Grèce et en Turquie.
Mattei : pas de légalisation de l'euthanasie

LE JEUNE Vincent Humbert, tétraplégique, muet et aveugle, a ému la France en sollicitant dans une lettre adressée à Jacques Chirac le « droit de mourir ». Cette affaire a fait rebondir le débat sur l'euthanasie, en mettant en lumière la situation tragique de certains malades. Inaugurant hier matin un colloque sur les soins palliatifs, le ministre de la Santé, Jean-Francois Mattei, nous a donné son point de vue sur le sujet. « Je n'ai pas de conseils à donner au président de la République. Mais, en conscience, je pense qu'il ne faut pas s'avancer trop sur ce terrain-là. Qu'un être humain puisse donner la mort à un autre ne peut pas figurer dans un texte de loi. Je suis donc farouchement opposé à l'euthanasie et je ne souhaite pas faire évoluer la législation en cours. En revanche, les gens qui, comme ce jeune homme, sont dans des états de dépression, qui ont des désirs de mort, doivent être pris en charge et être accompagnés davantage. »
Des « soins palliatifs pour soulager la personne, même si ce soulagement accélère le moment de sa mort »
Faisant référence à ses « trente-cinq ans d'activité en service de réanimation en néonatologie », le professeur Mattei, ancien grand pédiatre et généticien de renom, étaye sa thèse par ces « changements quasi miraculeux qui peuvent se produire au cours d'une même nuit et qui modifient totalement le jugement que vous aviez sur un malade. L'enfant qui semblait condamné en début de nuit ne l'est parfois plus au petit matin, à la grande surprise de ses parents, qui n'avaient plus d'espoir. » Sur l'approche de la fin de vie, le ministre distingue en fait deux choses. Soit le patient est « au seuil de sa mort », et dans ce cas, dans le cadre des « soins palliatifs », il incite les équipes médicales « à l'utilisation d'antalgiques et de sédatifs dès lors qu'ils s'avèrent nécessaires pour soulager la personne, même si ce soulagement accélère le moment de sa mort ». Sur ce point précis, l'Association pour le droit de mourir dans la dignité ne demande pas autre chose. En revanche, Jean-François Mattei exclut « farouchement » la décision de légaliser l'euthanasie au sens strict, concernant les personnes souhaitant qu'on « anticipe leur mort, non pas parce que leurs douleurs physiques ou psychiques ne sont pas soulagées, mais parce qu'elles veulent maîtriser le moment de leur mort, en décider le jour ». Les « exceptions d'euthanasie » comme les autorisent nos voisins suisses, belges et hollandais ne sont donc pas près de voir le jour en France.
Marc Payet

Le Parisien, mercredi 18 décembre 2002
CE QUE JE DIS
L'EUTHANASIE, LES PERSONNES AGEES, BERNARD KOUCHNER ET MOI...
Lorsque je me suis déplacé au secrétariat du ministère de la santé en 1998, c'était pour remettre mon témoignage concernant des abus et dysfonctionnements de structures d'aides aux personnes âgées . C'était pour leurs faire part de ma profonde colère et surtout de l'énorme scandale .Malheureusement, loin d'être convaincant, le secrétariat m'a même indiqué, qu'il n'y avait pas de bureaux spéciaux qui s'occupaient des personnes âgées. On m'a donc très mal accueilli. Et bien entendu, on ne m'a pas répondu, j'ai donc décidé d'écrire à 60 MILLIONS DE CONSOMMATEURS, au MONDE, à AMNESTY et bien d'autres .Trois ans après, l'apa était votée et un secrétariat spécial aux personnes âgé était mis en place . J'aurais pu donc fêter l'événement, mais malheureusement ce n'est pas mon seul sujet de préoccupations. Un problème sur plus de mille a donc été reconnu, je suis donc satisfait à 1 pour mille, ce qui est peu, très peu, d'autant plus qu'on tente de m'ignorer, voire de me discréditer . Bernard KOUCHNER a en quelque sorte eu trois ans de retard, pour les personnes âgées, pour les aliments trop salés.Par contre il a tout de suite reconnu que les français devaient apprendre à se soigner tout seul.Puisque les médecins ne savent plus soigner(du reste aux fils des ans, je me suis aperçu qu'ils racontaient n'importe quoi), et surtout que les médicaments ne guérissent plus, puisque les microbes et bactéries résistent aux antibiotiques.
Aujourd'hui, certains se demandent comment celà va être financé, au lieu de se demander pourquoi celà n' a pas été fait avant? Et oui, pourquoi, celà n'a pas été fait avant ? Mes grands-parents, moi-même et beaucoup d'autres n'auraient pas été rackettés et inévitablement volés .
Mon grand-père avait son père qui s'appelait MEDERIC, comme la compagnie d'assurances et d'aides aux personnes âgées cadres. Cette assurance assure un logement dans des résidences spécialisées pour 16.500f de retraites au minimum . Par contre les prises en charges par les services sociaux s'arrêtaient, avant l'apa, lorsque les retraites dépassaient ce plafond . 16500F semble être le premier prix pour pouvoir être soigné dignement . Semble, car selon d'autres études officielles, les dépenses varient de 6000 à 16000f(cf le dossier spécial de 60 millions de consommateurs, notamment). Et d'après mon étude, les services et les soins qui ont été procurés à mes grands-parents ne correspondent même pas à 4000f par mois . Une personne prise en charges à 100%, se fait donc rembourser ses médicaments intégralement, la nourriture des hôpitaux ou de maison de retraite est une nourriture de cantines bas de gamme . Steack-haché-purée, tous les jours . Le loyer mensuel d'une chambre d'hôpital
ne coûte même pas 2000f l'année, je dis bien l'année . Que reste t'il donc à prendre en charges ? Le goûter, un véritable festin, un bol de chicorée avec un sachet de deux biscuits . Il ne reste donc plus que le personnel à payer . Et malheureusement, ce ne sont pas des bénévoles!
Mais le scandale, c'est de faire signer des faux, des lettres blanches, le scandale c'est de confisquer 90% des revenus, pour ensuite ne laisser que 10%, pour les autres dépenses(c'est à dire, autres que les médicaments, le logement et la nourriture), et malheureusement la liste est longue, très, très longue, puisqu'elle correspond aux besoins de n'importe quelle personne . Pour ce qui est des soins, là aussi, ils font des économies, ils obligent leurs clients à faire leurs besoins dans des couches, pour ne pas être dérangés(mais ils le sont de toute façon), et puis il faut faire des économies de radios, parcequ'il y a trop d'abus . Que reste t'il donc à faire, quand la personne n'est plus solvable ? L'euthanasier ou en tout cas accélérer son décès .
Le rapprochement est vite fait, beaucoup voudront euthanasier des personnes âgées pour moins leurs verser d'APA, ou plutôt je devrais dire d'appât .Beaucoup voudront mourir, car ils ne supporteront pas la douleur, alors qu'il s'agira d'une simple crise de foie.Et beaucoup les aideront plus facilement s'ils ont fait don de leurs corps à la science . Je suis donc contre toutes formes d'euthanasie .





Article censuré par le modérateur du forum du Nouvel-Observateur

 

 

REPONSE A UN COMMENTAIRE D'UN HOMME DETRUIT PAR L'EUTHANASIE DE SA MERE...

Les frères et soeurs de cet homme ont réussi à convaincre sa mère de se faire euthanasier en suisse...

 

 

C'est à cause de pays comme la SUISSE, qu'on nous traite tous comme des criminels .L'euthanasie et la mort assistée devraient être interdits .C'est révoltant, car certains veulent mourir, parcequ'ils ont une simple crise de "foi", et d'autres n'hésitent pas à faire des faux dossiers pour pouvoir assassiner en toute tranquillité .L'euthanasie et la mort assistée en SUISSE(où les gens veulent se SUISSE cider légalement) est un scandale, il faut punir la SUISSE, au même titre qu'ISRAEL, qui continue à autoriser le blanchiment d'argents.Une personne vous fait un chèque, une autre vous vole le chèque et vous ruine ou tue, et ensuite un intermédiaire va changer le nom du bénéficaire en ISRAEL .Des réseaux mafieux s'enrichissent de cette façon.Et le monde laisse faire...L'assistance publique des hôpitaux de paris surfacturent des services, et continue de faire croire, qu'elle est déficitaire .La SECU rembourse tous ces services .Si vous avez le malheur de contester ce système .Alors on ne vous soigne plus, lorsqu'on vous a rendu malade...Ca,c'est la pûre vérité ....Ainsi de suite...Les scandales sont innombrables, et nous font tous passer pour des criminels ...

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